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Compte-rendu synthĂ©tique par Pascal Bruno â CafĂ© Citoyen de Ajaccio 28/09/2010 Animateur du dĂ©bat Pascal Bruno » Politique et SociĂ©tĂ© La sĂ©ance qui rĂ©unit un peu plus d'une vingtaine de participants est ouverte Ă 21H00 par Pascal Bruno. Ainsi que convenu 5 thĂšmes sont proposĂ©s au vote Les violences Jeunes et personnes ĂągĂ©es en Corse Le foncier La spĂ©culation Vivre et survivre en Corse toute l'annĂ©e. C'est le thĂšme n°5 "Vivre et survivre en Corse toute l'annĂ©e" qui est choisi. Pascal fait une confidence Ă l'assistance. Un assistant d'un maire lui a rapportĂ© les propos de l'Ă©dile pour lequel il travaille " Quand les gens descendent dans la rue, quand ils crient voire font usage de violence, cela fait du bruit, beaucoup de bruit mais rien n'avance car bien souvent ces accĂšs d'humeur ne sont pas relayĂ©s par des propositions programmatiques". Donc l'utilitĂ© n' en est pas grande. Les Ă©lus, mĂȘme instruits de la thĂ©matique de maniĂšre dĂ©taillĂ©e par leur entourage administratifs, s'autorisent souvent Ă classer le dossier une fois l'accĂšs d'humeur populaire passĂ©. Critiquer pour critiquer ne sert pas Ă grand chose, il faut proposer. Il indique qu'il tient plus Ă ses enfants qu'Ă lui-mĂȘme et qu'il se bat pour eux et leur avenir. Le cafĂ© citoyen n'a de sens qu'en Ă©tant une dĂ©marche d'avenir. Plusieurs thĂ©matiques concernant le thĂšme choisi ont Ă©tĂ© abordĂ©es par les participants CoĂ»t de la vie en Corse Le coĂ»t de la vie en Corse est indĂ©niablement plus Ă©levĂ© en Corse que ce soit au niveau des transports ou de la nourriture. Chaque annĂ©e des articles dans Corse Matin reviennent au printemps sur le niveau des prix Ă©levĂ© dans les supermarchĂ©s ou au niveau des carburants. Il n'y a aucun discounter alimentaire sur l'Ăźle. Aucun supermarchĂ© ne distribue des carburants en Corse contrairement Ă ce qui se passe sur le continent. C'est Ă ce prix qu'il peut y avoir autant de petits pompistes qui maintiennent des emplois sur l'Ăźle mais c'est ce qui explique en grande partie la chertĂ© de l'essence. Les prix des carburants sont similaires dans l'Ăźle et la concurrence qui bĂ©nĂ©ficierait aux consommateurs ne joue pas. De plus, il n'y a que deux sites de stockage d'essence en Corse, ce qui limite aussi la concurrence. L'afflux des touristes pendant la saison estivale a un effet sur le niveau des prix pratiquĂ©s tout au long de l'annĂ©e. C'est ainsi que des magasins alimentaires sont surdimensionnĂ©es hors saison d'oĂč une majoration des prix pour compenser ce surcoĂ»t. Il y aussi des monopoles de fait. Par exemple il est trĂšs difficile de trouver du Pepsi cola dans les cafĂ©s. Pepsi Cola ne pĂ©nĂštre que trĂšs peu le marchĂ© Corse. Par contre le Groupe Pampryl auquel appartient Pepsi Cola vend ses jus de fruit en Corse. Mais quand un bistrotier vend un jus de fruit, il vend parallĂšlement 100 Coca Cola. Une protection des produits locaux existe de maniĂšre marquĂ©e. Orezza a un quasi-monopole dans les restaurants insulaires. Le fait que nombre de lecteurs de cartes bancaires tombent mystĂ©rieusement en panne durant l'Ă©tĂ© a aussi un coĂ»t pour les consommateurs qui ne peuvent plus bĂ©nĂ©ficier du dĂ©bit diffĂ©rĂ©. L'exclusion , mĂȘme si elle est moins marquĂ©e que sur le continent touche aussi la Corse Des personnes ĂągĂ©es en sont parfois rĂ©duites Ă fouiller dans les poubelles des supermarchĂ©s oĂč , contrairement Ă ce qui se pratique sur le continent, de la javel n'est pas dĂ©versĂ©e pour rendre dĂ©finitivement hors de consommation tous les produits. Une personne ĂągĂ©e expliquait lors d'une rĂ©cente Ă©mission radiophonique qu'elle en Ă©tait rĂ©duite Ă la grivĂšlerie d'aliments et Ă©tait obligĂ©e de " manger " en faisant ses courses. Des foyers pour SDF, que ce soit Ă Bastia ou Ajaccio, paraissaient inutiles il y 10 ans alors qu'aujourd'hui on manque de places. Quelle pourrait-ĂȘtre la rĂ©action citoyenne face Ă ce coĂ»t de la vie Ă©levĂ©? On n'est plus dans la sociĂ©tĂ© de consommation telle celle des trente glorieuses qui apportait une rĂ©ponse aux besoins rĂ©els d'Ă©quipement des mĂ©nages et qui marquait un progrĂšs social incontestable. On est dans une sociĂ©tĂ© d'hyper consommation oĂč des besoins artificiels sont crĂ©es. Un participant Ă la rĂ©union se dĂ©clare inquiet par le Nouvel Ordre Mondial que l'on prĂ©sente comme inĂ©luctable; Or, personne, du moins parmi les citoyens de base, ne sait ce qu'il recouvre et ce qu'il rĂ©serve. Il ne faut pas que des gens pensent et formatent le monde Ă notre place. La pluralitĂ© doit se substituer Ă la pensĂ©e unique. Sur internet, il y a des exemples encourageants de dĂ©marches citoyennes et de maniĂšres diffĂ©rentes de penser le Monde. De plus, il est symptomatique de l'hĂ©gĂ©monie culturelle de la sociĂ©tĂ© de consommation que le moral des Français soit mesurĂ© Ă la seule aune de leur consommation de biens et de services. La croissance doit forcĂ©ment trouver des limites car elle intervient et se dĂ©roule dans un monde qui n'est pas extensible. Sans remonter aux thĂ©ories de Malthus, au dĂ©but des annĂ©es soixante dix, le Club de Rome prĂ©conisait dĂ©jĂ une croissance zĂ©ro alors mĂȘme que nous Ă©tions en plein des " trentre glorieuses". N'oublions pas non plus que l'un des slogans de Mai 1968 Ă©tait" Mieux ĂȘtre plutĂŽt que plus avoir". Il faut maĂźtriser la croissance effrĂ©nĂ©e car elle peut entraĂźner la rivalitĂ© entre nations notamment dans l'accĂšs aux ressources naturelles et engendrer des guerres. Les citoyens doivent se prendre en charge. Le boycott serait une arme contre la grande distribution car il entraĂźnerait une baisse de chiffre d'affaires. Il pourrait ĂȘtre tournant. L'arme du boycott, pour ĂȘtre efficace, implique de rallier de trĂšs nombreux consommateurs, ce qui est difficile en pratique. Mais il ne faut pas oublier qu'essayer de faire bouger les choses mĂȘme si c'est difficile vaut mieux que de ne rien faire du tout. D'autant que peu de supermarchĂ©s peuvent se permettre de voir leur chiffre d'affaires baisser mĂȘme si c'est durant une semaine. Le boycott peut prendre d'autres formes plus insidieuses mais non moins efficaces. Un professeur a demandĂ©, dans le cadre d'une expĂ©rience Ă ses Ă©lĂšves d'entrer ensemble dans un supermarchĂ©, d'acheter chacun une seule pomme de terre et de la payer avec un billet de 20 âŹ.Les caisses se sont retrouvĂ©es engorgĂ©es et en pĂ©nurie de monnaie. Philippe Seguin disait qu'en France, mais c'est aussi valable ailleurs, il n'y a pas de pouvoir transcendant les intĂ©rĂȘts et les Ă©goĂŻsmes, il n'y a que des rapports de force. Un participant cite une histoire qu'il a entendue au sujet de singes en IndonĂ©sie. Des singes sur une Ăźle Ă©taient nourris de patates mĂ©langĂ©es de terre. Un singe a eu l'idĂ©e de nettoyer les patates et d'enlever la terre imitĂ© peu Ă , peu par ses congĂ©nĂšres de sorte que les cents singes de l'Ăźle se sont mis Ă faire la mĂȘme chose. Le plus Ă©trange c'est que des singes d'une Ăźle voisine qui n'avaient aucun contact avec les singes prĂ©citĂ©s les ont imitĂ©s comme si, Ă partir d'une masse critique, une dynamique immanente se mettait en place. Pour l'un des intervenants, les donnĂ©es de la physique quantique pourraient expliquer cette symĂ©trie de comportement. Un autre intervenant, tout en mettant en garde contre toute pensĂ©e magique ou invocation de la physique quantique hors de son champ, a indiquĂ© croire par contre Ă l'exemplaritĂ© et Ă la dynamique de groupe. Une autre forme de boycott a Ă©tĂ© prĂ©conisĂ©e par un intervenant, celui des urnes. D'aprĂšs lui l'abstention lors des Ă©lections est une bonne chose car c'est un signal de dĂ©fiance envoyĂ© par nos concitoyens; Cette vertu prĂȘtĂ©e Ă l'abstention a Ă©tĂ© contestĂ©e par d'autres intervenants car la dĂ©marche citoyenne est justement de ne pas se retirer de la vie politique et de voter mĂȘme blanc. Le Droit de vote est un droit qui a Ă©tĂ© chĂšrement acquis et qui est loin de concerner tous les pays. La mobilisation citoyenne relayĂ©e par les Ă©lus a dĂ©montrĂ© son efficacitĂ© quand il s'est agi du rapprochement des prisonniers politiques. Une autre maniĂšre de lutter contre le coĂ»t de la vie est de diminuer sa dĂ©pendance Ă la consommation. Dans le passĂ©, on faisait la soupe soi mĂȘme avec des lĂ©gumes cultivĂ©s dans son jardin ou achetĂ©s et c'Ă©tait meilleur et moins cher que les soupes en sachets. On pourrait aussi Ă©viter de jeter ce qui peut facilement ĂȘtre rĂ©parĂ© et qui pourrait ainsi ĂȘtre rĂ©utilisĂ© ou donnĂ©. c'est ainsi que de nombreuses perceuses que l'on trouve dans les poubelles n'ont parfois qu'un problĂšme minime de cordon dĂ©fectueux . La dĂ©croissance peut ĂȘtre une solution pour pallier les inconvĂ©nients de la sociĂ©tĂ© de consommation mais il faut prendre garde Ă ne pas diminuer la consommation car les objets de consommation sont, en mĂȘme temps des objets de communication. Pour un intervenant, la sociĂ©tĂ© de consommation est loin de favoriser le dialogue car elle privilĂ©gie l'avoir sur l'ĂȘtre. Afin de dĂ©montrer que l'on peut rompre avec le consumĂ©risme, plusieurs voix se sont Ă©levĂ©es en faveur du jeĂ»ne. Un participant considĂšre le jeĂ»ne comme salvateur. Il le pratique depuis quinze jours par an depuis quatorze ans. Il permet au corps de se dĂ©sintoxiquer et de se rĂ©parer des agressions qu'il a subies. Travaillant dans le secteur du bĂątiment, il n'a jamais interrompu son activitĂ© pour cause de jeĂ»ne et il a mĂȘme constatĂ© un regain d'Ă©nergie au bout su sixiĂšme jour. Un autre intervenant a Ă©voquĂ© le jeĂ»ne qui existe dans les 3 religions monothĂ©istes et dans d'autres dĂ©marches spirituelles. Il s'agit d'un jeĂ»ne qui n'est pas que celui du corps mais qui invite Ă l'introspection et Ă l'Ă©lĂ©vation spirituelle. Pascal relĂšve le dĂ©fi et envisage de jeĂ»ner le deuxiĂšme dimanche d'octobre. Il fera part de cette expĂ©rience lors du prochain cafĂ© citoyen. . Vivre en Corse ne se dĂ©finit pas que par rapport Ă l'argent mais aussi Ă des valeurs Parler de la vie en Corse ne se rĂ©duit pas qu'Ă l'argent. C'est aussi parler de mĂ©decine, d'Ă©ducation, de Culture ⊠Il est quasiment impossible compte tenu de l'implantation de l'UniversitĂ© Ă Corte de suivre des cours du soir quand on habite Ajaccio ou Bastia. MalgrĂ© tous les problĂšmes et les difficultĂ©s rencontrĂ©es, il fait bon vivre en Corse car il y a des valeurs de solidaritĂ© et de partage. De plus, on peut se promener tard le soir dans les rues sans l'apprĂ©hension de faire de mauvaises rencontres, ce qui devient rarissime sur le continent. Les enfants peuvent aussi jouer en sĂ©curitĂ©. Il n'en demeure pas moins qu'il faut entretenir les valeurs de la sociĂ©tĂ© Corse car elles ont tendance Ă s'amenuiser, l'Ăźle subissant l'Ă©volution gĂ©nĂ©rale des sociĂ©tĂ©s occidentales vers l'individualisme. Si on n'y prend pas garde, les valeurs vont se perdre. Il faut donc les revivifier. D'autant que la crise Ă©conomique favorise des comportements de replis sur soi et de prĂ©fĂ©rence identitaire ou communautaire qui peuvent sonner le glas du vivre ensemble dans une sociĂ©tĂ© plurielle. Un des intervenants a dĂ©clarĂ© qu'il Ă©tait optimiste quant Ă l'Avenir et qu'il ne fallait pas cultiver une nostalgie passĂ©iste. Il faut inventer le nouveau logiciel social. Il constate que des progrĂšs ont Ă©tĂ© faits en matiĂšre de circulation depuis 10 ans malgrĂ© l'augmentation du nombre de vĂ©hicules. Tous ne partagent pas cet optimisme envers l'Avenir. La crise Ă©conomique favorise l'individualisme, le repli identitaire qui lui est souvent liĂ© et la recherche de boucs Ă©missaires. Un membre du cafĂ© citoyen se dĂ©clare pessimiste Ă court terme mais optimiste Ă long terme. Il cite les Evangiles " Il faut que la graine meure avant qu'il y ait renaissance". En marge de l'ordre du jour, bien qu'en relation indirecte avec lui un dĂ©bat s'est ouvert au sujet des OGM. Les OGM participent du nouvel ordre mondial et les citoyens ne sont pas suffisamment consultĂ©s. La mobilisation citoyenne sur ce sujet ne semble pas pour l'instant pouvoir inflĂ©chir durablement le cours des choses. Des firmes comme Monsanto privilĂ©gient le profit Ă la santĂ© publique. Il existe tout de mĂȘme des signes d'espoir. Une anecdote est Ă cet Ă©gard rĂ©vĂ©latrice. De l'amarante a poussĂ© dans des champs de soja transgĂ©nique. Des pesticides ont Ă©tĂ© rĂ©pandus mais l'amarante a continuĂ© Ă pousser. Il a donc fallu incendier la plantation. Or, pour les indiens, le feu est l'apanage des Dieux. C'est donc l'expression d'une justice quasi immanente. Il ne faut pas jouer aux apprentis sorciers avec la nature comme cela a Ă©tĂ© le cas avec de la vache folle , l'origine du problĂšme rĂ©sidant dans le fait que la nourriture des bovidĂ©s Ă©tait composĂ©e en partie de farines de poisson. S'il y avait un rĂ©fĂ©rendum sur les OGM, la rĂ©ponse signifierait certainement leur rejet. Mais les citoyens ne sont pas consultĂ©s alors qu'il y va de leur avenir et de leur santĂ©. Pour un intervenant, s'il faut ĂȘtre prudent, il convient toutefois de se garder de tout obscurantisme car les OGM sont peut-ĂȘtre un moyen de parvenir Ă nourrir tous les habitants de la planĂšte toujours plus nombreux, mĂȘme si d'aucuns prĂ©disent que la population de la planĂšte atteindra un pic de 9 milliards d'habitants avant de dĂ©croĂźtre. Au sujet des OGM comme moyen de nourrir la planĂšte, un des participants Ă , la rĂ©union a citĂ© AndrĂ© Gros qu'il a Ă©tĂ© amenĂ© Ă connaĂźtre et qui, agronome faisant rĂ©fĂ©rence, s'Ă©tait vu confier par le gouvernement français aprĂšs la seconde guerre mondiale, une mission sur les engrais comme moyen d'augmenter la production agricole et d'assurer ainsi l'autosuffisance alimentaire. MĂȘme si cette mission fut un indĂ©niable succĂšs, AndrĂ© Gros, certainement devant les excĂšs auxquels a donnĂ© lieu l'agriculture intensive et productiviste a refusĂ©, lors d'une conversation qu'ils ont eue en 1980 de lui dire s'il Ă©tait satisfait de l'exercice de la mission quI lui avait Ă©tĂ© confiĂ©e. - Pascal conclut la rĂ©union Ă 23H15, laissant les discussions se poursuivre de maniĂšre plus informelle au sein du cafĂ© lui mĂȘme . Le problĂšme est essentiellement Ă©conomique et surtout CORSO-CORSE; La rĂ©solution du problĂšme ne passera que par un rĂ©veil citoyen insulaire et une marche vers un autre chemin . La CORSE mĂ©rite mieux que le malheur imposĂ© par une poignĂ©e d'affairistes peu soucieux du dĂ©veloppement, si ce n'est le leur . La lumiĂšre n'est pas loin,chers frĂšres de Corse et du monde . Lien permanent Interventions CAMMAROTA jeudi 07 octobre 2010 102628 +0000 trĂšs interressant sur la PRECARITE !! Que faire donc ? cammarota jeudi 28 octobre 2010 091812 +0000 j attends les prochains thĂšmes si celui de la prĂ©caritĂ© est encore lĂ , je veux bien l'aborder. Marre de retaper vos coordonnĂ©es ? CrĂ©ez un compte ! CrĂ©er un compte permet d'ĂȘtre averti des nouvelles contributions, d'ĂȘtre reconnu et donc de ne pas avoir Ă taper ses coordonnĂ©es pour participer aux dĂ©bats.
Lesavantages d'investir dans l'immobilier en Corse. La Corse est une Ăźle oĂč l'immobilier ne perd pas de valeur. Ses atouts font d'elle une destination phare, encourageant ainsi les flux de La Corse rĂ©putĂ©e dans le monde entier pour sa beautĂ©, ne peux laisser indiffĂ©rent celui ou celle qui foulera de ses pieds cette terre de caractĂšre. La vie insulaire, un mode de vie unique Il faut lâavoir vĂ©cu pour pouvoir en parler avec objectivitĂ©. Pour certains, la vie peut trĂšs vite tourner rond, et pour dâautres câest une Ă©vasion continuelle. La Corse nâĂ©chappe pas Ă la rĂšgle et prĂ©sente tous les avantages et inconvĂ©nients que les continentaux extrapoles. Pour les habitants de ces terres en pleine mer, câest une chance, câest un Ă©merveillement au quotidien. Venir sur une Ăźle se mĂ©rite, il faut braver la mer et sa houle, câest une vĂ©ritable rĂ©compense que de fouler sa terre. Pour les habitants de lâĂźle verte, la Corse est un vĂ©ritable trĂ©sor quâil faut sauvegarder et prĂ©server Ă tout prix. Et nul ne peut passer outre. Brandizi Promotion Vivre dans des lieux dâexceptions La rĂ©putation de ses sites magnifiques nâest plus Ă faire, et un grand nombre de touristes de passages, Ă©pris devant tant de beautĂ©, dĂ©cident de sây arrĂȘter pour quelques temps. Quelque soit lâendroit sur lâĂźle, perdu en pleine nature ou proche dâune ville, y vivre est un vĂ©ritable choix. Lâimmobilier en Haute Corse est trĂšs florissant, et propose une gamme de logements et de paysages fort diffĂ©rents. MalgrĂ© le fait que sa surface soit plus rĂ©duite que sur le continent, lâĂźle offre une multitude de possibilitĂ©s, et se doit dâĂȘtre plus inventive. La Corse ce nâest pas seulement des paysages grandioses câest aussi une population, une culture et une gastronomie de caractĂšres ! 0zoeqJb.